Une étude américaine menée sur le rat a peut-être trouvé le coupable: la molécule CRFr, chargée de recevoir le signal de stress à la surface des neurones. Ce récepteur serait plus actif chez les rats femelles, ce qui suggère qu’un signal de stress plus élevé est transmis aux cellules nerveuses.
Plus fort, il semblerait que chez les mâles, les neurones neutralisent certaines de ces molécules pour limiter la perception du signal de stress! Ce mécanisme permettrait aux mâles de mieux réguler leur niveau de stress.
Source: Science & Vie, 09/2010.
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